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Quant à offusquer ces trombes…
Quant à offusquer ces trombes de lie le mors à l’outrage
le bris d’escarmouche, la rage aux brimades
si peuchère que l’ore la vulve en son doigt
il sertissait la tombe
le rire des aubades
Un de ces regards où le mot n’implante la veineque lors de qualificatifs jeune tambouille
appris, mesuré, pas même lâche
et si diacre que fût le râle
l’image de plate d’un quotidien assangue
je m’en pris les torchades
en quinconce d’une voix
Le sépulcre apocryphe ruinant jusque leurs propres agapesà claire-voie en leur gland
de Maries à l’Estaque
Je m’en viendrai leur cingler de guillemetsla simultanée
un canif aux fiels l’estomac
Elle craquellerait
leur gerberait d’apostrophe
Ils se hurleraient
expectorant tant et plus
mes cuisses offertes
cinq cents, puis six cents fois leurre
À dérober d’incantation le jardin de stèlesÀ sillonner du Déserteur l’extrême au boudoir
de prime le sordide
d’un sou le mot
la vierge au feutre
Quelque misérables que s’en fussent les tabernaclesla vie, sanglotant le pustule jusqu’à l’ignore
Vibrer
quinze fois plus poète la gerbe enfin verge
Du sang le noirse riant l’armoirie à l’outrance
se laissant dire
s’octroyant le faire
Qui s’en vint au salto par misère le rat
Et quand le tors
les maux s’esquintaient
se cajolant de spectacles en tribales le sempiternel coi
barbouillant la catapulte
Jeune le vibrant à l’oracle
Si mes larves s’éradiquentsi tant est que le crâne s’en fût
main au détriment de l’œil
la chienlit de l’ancestral à vilipender de ses lèvres le crime
Ils ne parvenaient pas de ce naufragele mièvre,
chaque fois plus en-cela
de ces ronds de jambe à l’ultime
Qu’en étaient-Ils ?
Alice Massénat
in Tiens n°10, 2002.
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